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enseignant : Roch Barbieux

On se rendra vite compte que les  enjeux sont multiples. Sans vouloir se débarrasser de l’idée de modèle, plus par tentative de laisser éclore que par désir de faire table rase, il s’agira ici de partir d’un rien. Un rien qui serait déjà un geste.

 

Nous travaillerons en alternance avec  le modèle vivant. Des temps d’attentions portés sur le modèle permettront de générer une accroche, une mise en route d’une pratique constitutive d’un travail. D’autres temps, détachés du modèle, nous permettront de porter notre regard sur le travail en lui-même, sur les possibilités graphiques qui en émane.

 

Dessiner amène à regarder et analyser. Par le regard, une pratique peut commencer à ce mettre en place. Une pratique du regard qui se mêle à une pratique de la main. L’analyse permet d’approfondir le regard, de déployer notre propre rapport à la pratique.

 

Progresser dans une discipline m’apparaît plus affaire d’autonomie face à une pratique que de technicité. On ne cesse jamais d’apprendre ou de découvrir de nouvelles techniques. La maitrise d’une discipline me semble lié à l’assurance d’un geste posé  et à la capacité critique porté sur son propre travail.

 

 

Poser un geste :

 

Génère altérité, différence, fouille,  déplacement.

Assure une continuité de la formation

Déploie, articule un travail.

Poser des gestes autres et autrement 

Questionner les limites de l’atelier.

 

 

Le champ de l’atelier :

 

Ce mettre à l’oeuvre, développer / expérimenter.

Explorer, élaborer, expérimenter.

 

Espace d’une pratique  collective.

S’installer, montrer, communiquer.

Verbaliser  / nommer

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